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THIGH LIFT

Qu’est-ce que le Lifting de Cuisses?

Lorsqu’il existe un relâchement de la peau au niveau de la face interne des cuisses, une lipoaspiration isolée ne peut suffire et seule une remise en tension de cette peau est susceptible de corriger ce défaut : c’est le lifting crural ou cruroplastie ou lifting de la face interne de la cuisse.

Avant / Après intervention

Qu’est-ce que le Lifting de Cuisses?

Lorsqu’il existe un relâchement de la peau au niveau de la face interne des cuisses, une lipoaspiration isolée ne peut suffire et seule une remise en tension de cette peau est susceptible de corriger ce défaut : c’est le lifting crural ou cruroplastie ou lifting de la face interne de la cuisse.

Tout ce qu’il faut savoir

Quels sont les objectifs de cette intervention ?

L’intervention a pour but de réduire l’infiltration graisseuse par une lipoaspiration, mais aussi de supprimer l’excédent cutané et de suspendre solidement la peau restante afin de la retendre efficacement.

+ - En quoi consiste l’intervention?

Les techniques modernes sont moins agressives. Elles respectent  beaucoup mieux l’architecture des tissus et notamment les  vaisseaux lymphatiques et sanguins. Ceci permet de diminuer  le taux de complications. La quasi absence d’écoulement  post-opératoire permet de se passer de drain ce qui est d’un  grand confort.

Une lipoaspiration est associée chaque fois qu’il existe une  infiltration adipeuse de la région.

De l’examen de la peau découle 3 types d’opération : 

  • Technique horizontale pure : On l’utilise lorsque l’excès en  longueur est prédominant. Il se traite en tirant la peau vers  le haut « comme on remonte un pantalon ». La cicatrice part  du pli de l’aine. Elle se prolonge ensuite dans le sillon entre le  périnée et le haut de la face interne de la cuisse, et se poursuit  en arrière jusqu’au pli fessier où elle se termine.  Dans cette technique, la traction est verticale. Pour éviter que  la cicatrice ne redescende, le chirurgien doit fixer de la peau  en profondeur au ligament situé en haut de la face interne  de la cuisse.
  • Technique verticale pure : L’excès en largeur est prédominant  et se traite « comme on rétrécit un pantalon ». La cicatrice  verticale est située le long de l’intérieur de la cuisse. Elle est  plus ou moins longue (et donc plus ou moins visible) suivant  l’importance de l’excès de peau. Elle peut donc être limitée au  tiers supérieur de la cuisse et dans ce cas là elle très discrète.  Lorsque l’excès est important, comme après une perte de  poids massive par exemple, elle peut descendre jusqu’au  genou. Il n’y a pas besoin de fixation de la peau au ligament  car la traction est horizontale.
  • Technique mixte : les deux techniques sont souvent associées  lorsqu’il y a présence des deux excès de peau. On obtient ainsi  une cicatrice en L inversée ou en T.  La durée de l’intervention est en moyenne de 2 heures. Elle  est variable en fonction du chirurgien et de l’ampleur des  améliorations à apporter et peut aller jusqu’à 4 heures dans  les pertes de poids massives. En fin d’intervention, on réalise un pansement à l’aide de  bandes élastiques collantes ou bien on met en place un panty  de liposuccion.Les techniques modernes sont moins agressives. Elles respectent  beaucoup mieux l’architecture des tissus et notamment les  vaisseaux lymphatiques et sanguins. Ceci permet de diminuer  le taux de complications. La quasi absence d’écoulement  post-opératoire permet de se passer de drain ce qui est d’un  grand confort.Une lipoaspiration est associée chaque fois qu’il existe une  infiltration adipeuse de la région.De l’examen de la peau découle 3 types d’opération : 
    • Technique horizontale pure : On l’utilise lorsque l’excès en  longueur est prédominant. Il se traite en tirant la peau vers  le haut « comme on remonte un pantalon ». La cicatrice part  du pli de l’aine. Elle se prolonge ensuite dans le sillon entre le  périnée et le haut de la face interne de la cuisse, et se poursuit  en arrière jusqu’au pli fessier où elle se termine.  Dans cette technique, la traction est verticale. Pour éviter que  la cicatrice ne redescende, le chirurgien doit fixer de la peau  en profondeur au ligament situé en haut de la face interne  de la cuisse.
    • Technique verticale pure : L’excès en largeur est prédominant  et se traite « comme on rétrécit un pantalon ». La cicatrice  verticale est située le long de l’intérieur de la cuisse. Elle est  plus ou moins longue (et donc plus ou moins visible) suivant  l’importance de l’excès de peau. Elle peut donc être limitée au  tiers supérieur de la cuisse et dans ce cas là elle très discrète.  Lorsque l’excès est important, comme après une perte de  poids massive par exemple, elle peut descendre jusqu’au  genou. Il n’y a pas besoin de fixation de la peau au ligament  car la traction est horizontale.
    • Technique mixte : les deux techniques sont souvent associées  lorsqu’il y a présence des deux excès de peau. On obtient ainsi  une cicatrice en L inversée ou en T.  La durée de l’intervention est en moyenne de 2 heures. Elle  est variable en fonction du chirurgien et de l’ampleur des  améliorations à apporter et peut aller jusqu’à 4 heures dans  les pertes de poids massives. En fin d’intervention, on réalise un pansement à l’aide de  bandes élastiques collantes ou bien on met en place un panty  de liposuccion.
+ - Il s’agit d’une anesthésie générale classique, durant laquelle vous dormez complètement.

Il s’agit d’une anesthésie générale classique, durant laquelle vous dormez complètement.

+ - Combien de temps va durer l’intervention?

L’intervention dure habituellement entre 1h30 et 3 heures.

+ - Combien de temps serais-je hospitalisé(e)?

Une hospitalisation de 24h à 48h est habituellement nécessaire.

+ - Que dois-je faire avant l’intervention?

Un bilan pré-opératoire habituel est réalisé conformément  aux prescriptions.

Le médecin-anesthésiste sera vu en consultation, au plus tard  48 heures avant l’intervention.

Le tabagisme aggrave le risque de complication post-opératoire  de toute intervention chirurgicale. Arrêter de fumer 6 à 8  semaines avant l’intervention supprime ce sur-risque.  L’arrêt du tabac est obligatoire 1 mois avant et 1 mois après l’opération.

L’arrêt d’une éventuelle contraception orale peut être requis,  notamment en cas de facteur de risques associés (obésité,  mauvais état veineux ; trouble de la coagulation).

Aucun médicament contenant de l’aspirine ne devra être pris  dans les 10 jours précédant l’intervention.

Une préparation cutanée (type savon antiseptique) est  habituellement recommandée la veille et le matin de  l’intervention.

Il est fondamental de rester à jeun (ne rien manger, ni boire)  6 heures avant l’intervention.

+ - Comment cela se passe après l’intervention?

La sortie pourra intervenir en règle générale le lendemain ou  le surlendemain de l’intervention. Dans les suites opératoires, des ecchymoses (bleus) et un œdème (gonflement) peuvent apparaître. Ils régresseront pour  l’essentiel dans les 10 à 20 jours suivant l’intervention. Les douleurs sont en règle générale supportables, avec un  traitement adapté, à type de courbatures, de tiraillements  ou d’élancements.

Dans tous les cas, il s’agit d’une chirurgie un peu invalidante car il y a gêne à la marche simplement à cause de la topographie  des zones opérées.
La cicatrice est située au fond d’un profond sillon dans lequel  il y a de l’humidité. La cicatrisation est donc toujours un peu  plus longue qu’ailleurs en zone sèche. Durant cette période,  il conviendra d’éviter tout mouvement d’étirement brutal comme par exemple en s’asseyant.

Il y a lieu de prévoir un arrêt de travail de 1 à 3 semaines, en  fonction de la nature de l’activité professionnelle. La pratique d’une activité sportive pourra être reprise  progressivement à partir de la 6ème semaine post-opératoire. La cicatrice est souvent rosée pendant les 3 premiers mois  puis elle s’estompe en règle générale après le 3ème mois, et ce, progressivement pendant 1 à 3 ans.

Elle ne doit pas être exposée au soleil ni aux UV avant 12 mois.

+ - Quel sera le résultat de l’intervention?

Il n’est apprécié qu’à partir d’un délai de 6 à 12 mois après l’intervention.
Il convient en effet, d’avoir la patience d’attendre le temps nécessaire à l’atténuation de la cicatrice.

On observe, le plus souvent, une bonne correction de l’infiltration graisseuse et du relâchement de la peau, ce qui améliore sensiblement la morphologie de la cuisse.
Les cicatrices sont habituellement assez discrètes, d’autant qu’elles sont en grande partie cachées dans un pli naturel et dissimulables par des sous-vêtements (sauf si l’association à une cicatrice verticale était nécessaire). Il faut toutefois savoir que, si elles s’estompent bien en général avec le temps, les cicatrices ne sauraient disparaître complètement.
A cet égard, il ne faut pas oublier que, si c’est le chirurgien qui réalise les sutures, la cicatrice, elle, est le fait du (de la) patient(e).

Le but de cette chirurgie est d’apporter une amélioration et non pas d’atteindre la perfection. Si vos souhaits sont réalistes et que vous êtes prêt(e) à assumer la rançon cicatricielle, le résultat obtenu devrait vous donner une grande satisfaction Il s’agit néanmoins d’une chirurgie délicate pour laquelle la plus grande rigueur ne met en aucune manière à l’abri d’un certain nombre d’imperfections, voire de complications.

+ - Peut-il y avoir des imperfections?

Le plus souvent, un lifting de la face interne des cuisses correctement indiqué et réalisé rend un réel service aux patient(e)s avec l’obtention d’un résultat satisfaisant et conforme à ce qui était attendu.

Cependant, il n’est pas rare que des imperfections localisées soient observées sans qu’elles ne constituent de réelles complications :

  • Ces imperfections concernent notamment la cicatrice qui peut être un peu trop visible, colorée, distendue, voire adhérente. Les cicatrices sont soumises aux aléas de toute cicatrisation avec le risque d’une évolution hypertrophique, qui peut alors nécessiter certains traitements spécifiques. En cas de tension excessive imposée aux sutures, on peut observer un abaissement, voire une migration vers le bas de la cicatrice, exposant alors au risque de traction sur la vulve.
  • Les résultats de la lipoaspiration quant à eux peuvent être caractérisés par une insuffisance de correction, une légère asymétrie résiduelle ou de petites irrégularités de surface. Ces imperfections de résultat sont en général accessibles à un traitement complémentaire : « petites retouches » chirurgicales réalisées sous anesthésie locale ou anesthésie locale approfondie, mais pas avant le sixième mois post-opératoire.
+ - Quels sont les risques et complications possibles?

Un lifting de la face interne des cuisses, bien que réalisé pour des motivations essentiellement esthétiques, n’en reste pas moins une véritable intervention chirurgicale, ce qui implique les risques liés à tout acte médical, aussi minime soit-il. Il faut distinguer les complications liées à l’anesthésie de celles liées au geste chirurgical.

En ce qui concerne l’anesthésie, lors de la consultation, le médecin anesthésiste informera lui-même le patient des risques anesthésiques. Il faut savoir que l’anesthésie induit dans l’organisme des réactions parfois imprévisibles, et plus ou moins faciles à maîtriser : le fait d’avoir recours à un Anesthésiste parfaitement compétent, exerçant dans un contexte réellement chirurgical fait que les risques encourus sont devenus statistiquement très faibles. Il faut savoir, en effet, que les techniques, les produits anesthésiques et les méthodes de surveillance ont fait d’immenses progrès ces trente dernières années, offrant une sécurité optimale, surtout quand l’intervention est réalisée en dehors de l’urgence et chez une personne en bonne santé.

En ce qui concerne le geste chirurgical : en choisissant un Chirurgien Plasticien qualifié et compétent, formé à ce type d’intervention, vous limitez au maximum ces risques, sans toutefois les supprimer complètement.

En effet, des complications peuvent survenir au décours d’un lifting de la face interne des cuisses qui constitue une des interventions les plus délicates de la chirurgie plastique et esthétique. Parmi ces complications envisageables, il faut citer :

  • Les accidents thrombo-emboliques (phlébite, embolie pulmonaire), bien que globalement assez rares après ce type d’intervention, sont parmi les plus redoutables. Des mesures préventives rigoureuses doivent en minimiser l’incidence : port de bas anti-thrombose, lever précoce, éventuellement traitement anti-coagulant.
  • La survenue d’un hématome, en fait assez rare, peut justifier une évacuation afin de ne pas risquer d’altérer secondairement la qualité esthétique du résultat.
  • La survenue d’une infection est favorisée par la proximité des orifices naturels (gîte microbien) et est prévenue par une hygiène pré et post-opératoire rigoureuse jusqu’à la cicatrisation complète. Son traitement peut faire appel à une prescription d’antibiotiques, et selon les cas, à une reprise chirurgicale, éventuellement un drainage. Elle peut parfois laisser des séquelles inesthétiques.
  • On observe parfois à partir du 8ème jour post-opératoire, la survenue d’un épanchement lié à un écoulement de lymphe et à un suintement de la graisse. La compression et le repos en constituent les meilleures préventions. Un tel épanchement doit parfois être ponctionné et il s’assèche en général sans séquelle particulière.
  • Un retard de cicatrisation est possible : il allonge les suites opératoires.
  • Une nécrose cutanée est parfois observée, en règle limitée et localisée. Les nécroses importantes sont, en fait, rares. Elles sont beaucoup plus fréquentes chez les fumeur(se)s, surtout si l’arrêt du tabac n’a pas été strictement respecté. La prévention de ces nécroses repose sur une indication bien posée et sur la réalisation d’un geste technique adapté et prudent, évitant toute tension excessive au niveau des sutures.
  • Des altérations de la sensibilité, notamment la diminution de la sensibilité de la partie haute de la face interne de la cuisse peuvent persister même si la sensibilité normale réapparaît le plus souvent dans un délai de 6 à 12 mois au décours de l’intervention.

Au total, il ne faut pas surévaluer les risques, mais simplement prendre conscience qu’une intervention chirurgicale, même apparemment simple, comporte toujours une petite part d’aléas. Le recours à un Chirurgien Plasticien qualifié vous assure que celui-ci a la formation et la compétence requises pour savoir éviter ces complications, ou les traiter efficacement le cas échéant.

+ - Où se passera l’intervention?

Le Docteur Taliah Schmitt pratique les interventions de Chirurgie Esthétique et Reconstructrice dans un établissement agréé par la Haute Autorité de Santé:

  • La Clinique Blomet, 136bis rue Blomet 75015 Paris
+ - Cette intervention sera-t-elle prise en charge par la Sécurité Sociale?

Ces lésions ne justifient pas une prise en charge par la Sécurité Sociale, à l’exception des séquelles d’obésité après chirurgie bariatrique qui peuvent, sous certaines conditions, bénéficier d’une participation financière de l’Assurance Maladie.

Page réalisée à partir des fiches propriétés et rédigées par la Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique (SOFCPRE). Reproduction à titre d’information.

Avant/Après

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Le Docteur Taliah Schmitt vous accueil au sein de son cabinet de consultation au 12 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris.
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07 52 62 80 00

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